Lycée – Seconde, Première et Terminale Scientifique Option Sciences de l’Ingénieur (2003 – 2006)

Mes premières recherches d’orientation, au collège, se sont portées sur le domaine de l’histoire. Mon grand-père, qui pourrait prétendre à un diplôme en Histoire tellement il s’y connait, m’a donné le goût de ce domaine. J’adore toujours ce domaine, et c’est toujours avec plaisir que je regarde un documentaire historique. Passionné, j’ai donc effectué un stage aux archives départementales de la Manche d’une semaine lors de mon année de quatrième, et j’ai eu envie de continuer dans cette voie comme enseignant ou historien.

Cependant, à mon arrivée en seconde, deux « options obligatoires » se sont présentées. J’ai choisi tout d’abord I.S.I : Initation aux Sciences de l’Ingénieur. Cette matière m’intéressait car j’ai toujours été attiré par les robots et toutes ces machines qui, d’un simple appui sur un bouton se mettent en mouvement et effectuent des tâches par elle-même, pourvu qu’elles soient équipées d’un automate programmable. Cette option a été un moment clé dans mes choix futurs d’orientation. L’autre option, S.V.T (Sciences et Vie de la Terre), ne m’intéressait pas plus que ça, mais on m’avait dit que cela pourrait m’aider durant l’année scolaire.

Ensuite en première, j’ai eu le choix entre S.V.T plus une matière de spécialité obligatoire (Mathématiques, Physique ou S.V.T) et S.I (Sciences de l’Ingénieur). Ayant adoré I.S.I, c’est sans aucune hésitation que j’ai décidé de continuer dans cette voie en choisissant S.I. Je ne regrette en rien mon choix, au contraire. Cette matière m’a montré que j’aimais le technique, plus que je n’aurais pu le penser auparavant.

J’ai alors commencé, toujours en première, à chercher ce que j’allais faire après mon baccalauréat. J’avais quelques appréhension, la peur de ne pas trouver de cursus qui me plairait. Je ne savais même pas ce que je voulais faire vraiment en réalité. Je savais que je voulais continuer dans la voie du technique, dans la suite de ma spécialité S.I, mais c’était tout.